Synopsis

Une nuit de tempête, l’hiver, en pleine campagne. Au volant de sa déneigeuse, Bruce, un homme d’un certain âge, renverse un autre homme. Après l’avoir enterré, il se réveille le lendemain matin en pleine forêt, sa déneigeuse empêtrée dans la neige. Mais alors qu’il essaie de se sortir de là, ses souvenirs et sa culpabilité se mettent à le hanter. Composant une atmosphère saisissante et mystérieuse, notamment grâce à la photo froide d’André Turpin et à la musique hypnotique de Serge Nakauchi Pelletier, Whitewash : l’homme que j’ai tué invite à reconstituer le puzzle de cette nuit maudite tout en entretenant savamment le doute. Mâtiné d’humour absurde, ce premier long signé Emanuel Hoss-Desmarais offre un terrain de jeu à leur hauteur à deux fascinants comédiens : Thomas Haden Church (Sideways) et Marc Labrèche.

One stormy winter night deep in the country. Bruce, a man of a certain age, hits a man while driving his snowplow. After burying him, he wakes up the next morning in the middle of the forest, his plow mired in deep snow. When he gets to work extricating the machine, his memories and guilt come to the fore. Creating a captivating, mysterious atmosphere, thanks to André Turpin’s chilly cinematography and Serge Nakauchi Pelletier’s mesmerizing music, Whitewash: l’homme que j’ai tué invites the viewer to piece together the puzzle of a horrible night, complete with nagging doubts. Brimming with absurd comedy, this first feature by Emanuel Hoss-Desmarais gives two excellent actors – Thomas Haden Church (Sideways) and Marc Labrèche – a stage worthy of their talents.