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Gros plan sur la relève: Marine Johnson

Jeudi, 17 mai 2018

Nommée dans la catégorie Révélation de l’année au Gala Québec Cinéma pour son rôle dans La petite fille qui aimait trop les allumettes, Marine Johnson est l’un des nouveaux visages marquants de notre cinéma. En 2012, elle apparaît pour la première fois à l’écran dans le film Ina Litovski d’Anaïs Barbeau-Lavalette et André Turpin. Un court métrage prenant, dans lequel elle campe une adolescente pas comme les autres cherchant désespérément l’amour dans le regard d’une mère indifférente. Alors âgée de 12 ans, elle trouve dans ce rôle (qui lui valut le prix d’interprétation de l’UDA), un écrin idéal pour faire rayonner son grand talent et s’ouvre ainsi les portes du cinéma.

J’ai eu beaucoup de plaisir à jouer dans La petite fille... On était vraiment une belle équipe.

Poursuivant en parallèle des études en théâtre au Cégep de Saint-Laurent à Montréal, elle apparaît au cours de la dernière année dans trois productions québécoises d’importance: Y’est où le paradis? de Denis Langlois, La petite fille qui aimait trop les allumettes de Simon Lavoie, film pour lequel est est en nomination, et Charlotte a du fun de Sophie Lorain. La jeune femme se dit attirée par des personnages qui dégagent une «immense vérité» et qui lui permettent d’évoluer dans des sphères plus profondes. C’est donc avec attention que l’on suivra l’évolution de la carrière de Marine Johnson, une jeune comédienne qui devrait continuer à nous surprendre, tant au grand écran que sur les planches.

Écouter l’entrevue de Marine Johnson réalisée par notre collègue Benoit Mercier sur SoundCloud.

Dans la même série :

Entrevue avec Romane Denis

Entrevue avec Rose-Marie Perreault

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