Lorsqu’il s’enlève la vie le 22 mai 2015, Mario cause une véritable onde de choc. Ses frères et ses amis sont plongés dans l’incompréhension totale. Qu’est-ce qui a pu le pousser à commettre ce geste? Entre peine, colère et culpabilité, Carl Leblanc étudie les cruelles répercussions de ce drame. À travers une émouvante série d’images personnelles et de poignants entretiens avec la « bande du lac », un groupe d’amis endeuillé par le départ précipité d’un des leurs, le documentariste rend un vibrant hommage à son copain disparu en faisant encore état, après Le commun des mortels, d’une tragédie intime.
When he killed himself on May 22, 2015, Mario set off a series of shockwaves. His brothers and sisters were thrown into a state of utter disbelief. Why would he have done such a thing? Pain, anger, guilt: Carl Leblanc studies the tragedy’s heartbreaking repercussions. Through a poignant series of personal images and interviews with the “lake gang” – the friend group bereaved by Mario’s death – the filmmaker brilliantly pays tribute to his deceased friend, once again telling the story of a private tragedy, following Le commun des mortels.
Originaire de la Gaspésie, Carl Leblanc est arrivé au documentaire en passant par les sciences politiques (Université de Montréal) et le journalisme (Télé-Québec). Après la fondation de Ad hoc Films, il produit ou réalise une quinzaine de documentaires. Il a entre autres signé Nation – Huis clos avec Lucien Bouchard et Le commun des mortels.
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