Meilleur film
Sous contrat avec le gouvernement libéral, un caméraman est envoyé dans un petit village du Nunavik pour y récolter des images d’archives. Mais sur place, il se lie d’amitié avec une famille inuit qui lui fait découvrir ses coutumes et ses traditions. Des traditions plus que menacées par des exploitations minières qui exigent la déportation de tout le village et de ses habitants. Pour cet homme à la croisée des chemins, l’heure est venue de revoir ses idéaux et la raison de sa venue dans ce coin de pays. Pour sa quatrième réalisation dévoilée au festival de Rouyn-Noranda, le comédien Robin Aubert poursuit son explora-tion des continents amorcée en 2009 avec À quelle heure le train pour nulle part grâce à ce docu-fiction aux accents aussi poétiques que politiques.
A cameraman is hired by the Liberal government and sent to a hamlet in Nunavik to shoot some stock footage. He becomes friends with an Inuit family who show him their customs and traditions – traditions threatened by mining operations that will force the relocation of the entire village. For this man at a crossroads, it’s time to rethink his ideals and his reasons for visiting this place. In this fourth directorial effort, which premiered at the Rouyn-Noranda film festival, actor Robin Aubert continues his exploration of the continents begun in 2009 with À quelle heure le train pour nulle part, this time with a docu-fiction as poetic as it is political.
À titre de scénariste-réalisateur, Robin Aubert est l’auteur de plusieurs courts et longs métrages primés. Il a entre autres réalisé Saint-Martyrs-des-Damnés (2005), À quelle heure le train pour nulle part (2009) et À l'origine d’un cri (2010). À quelle heure le train pour nulle part a reçu le prix Gilles-Carle aux 28es RVCQ.
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